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Mademoiselle Na.
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6 novembre 2016

Mademoiselle Na et le nouveau souffle... ou comment c'est pas toujours facile.

Ben voilà, canalblog qui bugge, maintenant. Juste le jour où j'ai un peu de temps à moi disponible pour écrire. Obligée d'écrire sur mon ordi pour copier-coller ensuite.

Déjà un bout de temps depuis mon dernier article. Le temps passe et passe et passe, et beaucoup de choses ont changé.

J'ai fait une tarte abricots-amandes cet après-midi, ça, ça ne change pas, je fais toujours de la pâtisserie dans les périodes d'angoisse.

Quoique, j'ai quand même vraiment bougé là-dessus depuis mon régime. Je n'ai plus le réflexe de me jeter sur la bouffe quand ça ne va pas.

Regarde, hier, on est au rayon boulangerie quand je reçois un sms d'LN qui me dit que finalement, comme tout le monde est fatigué-malade-flemmard, la soirée vin rouge-canapé-tisane est annulée. C'est con, j'avais vraiment, vraiment besoin de cette soirée. J'aurais dû répondre «  Mince, j'ai vraiment besoin de vous voir, ça va pas fort, j'ai besoin de vous parler. », et LN aurait sûrement fait un effort, et j'aurais eu ma soirée. Mais je ne suis pas comme ça, je n'arrive pas encore à dire « ça va pas ». A part à Monsieur Na. Et à vous, mais ça ne m'avance pas beaucoup, parce que, avec vous, on ne peut pas boire du vin rouge sur un canapé le vendredi soir quand la semaine a été éprouvante et que Monsieur Na part au sport.

Alors j'ai répondu « Ah crotte », et LN m'a répondu « de bique ». Et puis, j'ai regardé deux secondes les sublimes éclairs qui s'étalaient devant moi dans la vitrine réfrigérée du rayon pâtisserie, et j'ai commandé un pain bûcheron tranché s'il-vous-plaît madame merci bonne soirée bon courage, et je suis partie au rayon Fromages allégés. Incroyable.

Et jeudi soir, quand je suis rentrée tard et qu'il n'y avait plus rien dans le frigo, mais genre, plus rien, alors que Monsieur Na devait faire des courses. Oui mais voilà, il a « pas eu le temps », parce qu'il devait aller boire des bières chez James, le voisin et pote, et il arrive à 20h, et bim sans un bonjour, « Je vais manger un kebab avec James. » Bah, euh, on va prendre les choses dans l'ordre Chaton, déjà on va prendre deux minutes pour se dire bonjour, et puis ensuite, tu vas m'expliquer pourquoi tu te fous de ma gueule. Ah si, si, tu te fous de ma gueule quand tu dis que tu vas faire des courses et que tu les fais pas, parce que tu es occupé à boire des bières, et que tu te barres manger à l'extérieur sans même me demander mon avis, ou au moins me proposer de me ramener un truc à manger. Ok, donc, moi je fais quoi, je mange mes doigts ? On a de la chance, dis donc, j'en ai 5 à chaque main, heureusement parce que non seulement je dois manger ce soir, mais en plus j'apporte ma gamelle pour demain midi.

Hé ben, une fois Monsieur Na parti, me voilà toute seule, crevée, angoissée, et pire que tout affamée, sur mon canapé. L'ancienne Mademoiselle Na aurait eu le réflexe de prendre la voiture direction McDo et de se gaver de choses bien grasses. Hé ben nan, même pas. J'ai fouiné dans le congélo, à la recherche d'une vieille escalope et d'un sachet de légumes vapeur (ouf, merci Picard).

Une compote, une banane et au lit.

Ouais, y a du progrès, c'est certain.

C'est encore une période à nuages.

Moi, dans l'absolu, je vais bien. En tous cas, j'ai tout pour aller bien.

Mais mes angoisses reviennent. Je fais ça depuis longtemps, sans comprendre pourquoi, c'est un truc récurrent : je m'endors, et au bout de quelques minutes, je me réveille en sursaut, et dans un état entre le sommeil et l'éveil, j'ai l'impression de voir ou d'entendre quelqu'un qui est entré dans l'appart. C'est terrible, parce que, à ce moment-là, j'ai vraiment l'impression que c'est vrai, qu'il y a vraiment quelqu'un. Parfois, j'ai vu une ombre dans le couloir, ou alors j'ai cru entendre un bruit bizarre. Et il me faut de longues minutes pour me rassurer, je suis terrifiée. Il y a quelques années, j'avais même parfois besoin de vérifier pour de vrai, de me lever. Aujourd'hui, je sais que ça m'arrive souvent, et je me raisonne, même si parfois je flippe pour de vrai. Sans compter qu'à chaque fois, ça réveille Monsieur Na, et que je me sens stupide.

Je n'arrive pas à trouver le pourquoi de cette angoisse d'intrusion. J'y réfléchis pourtant, je retourne l'histoire dans ma tête. Est-ce que ça a à voir avec un truc que j'aurais vécu dans mon enfance et que j'aurais refoulé ?

Ces « crises » m'arrivent de temps en temps, par périodes. En général elles reviennent quand je suis angoissée, dans les moments difficiles ou stressants.

J'ai aussi parfois de vraies crises d'angoisse, terribles. Ca ne m'est pas arrivé depuis l'année dernière cela dit. Ces moments où tu as l'impression que tu es en train de mourir.

Alors j'angoisse, j'angoisse, mais j'angoisse pour quoi.

Il y a des raisons évidentes, objectives.

Toutes les séparations autour de moi, mon cher G. qui quitte son conjoint, et il est tellement loin là-bas dans les îles, alors je ne peux pas le prendre dans mes bras et lui faire des gâteaux pour lui dire que ça va aller. Je dois me contenter de discussions sur skype et de lui envoyer un petit colis avec une longue lettre, ça commence à devenir une habitude entre nous deux. Il me manque tellement. J'avais pris une bonne dose de lui pendant notre mariage, mais ça y est j'ai fini ma dose, j'ai de nouveau besoin de le serrer dans mes bras, comme quand on dansait pendant le mariage, tous les deux, collés serrés l'un contre l'autre, à sentir nos odeurs et se dire des belles choses. J'ai une amitié particulière pour lui. Je crois que c'est ce qu'on appelle un meilleur ami. Et il est trop loin en ce moment. Et je n'arrive pas à lui dire que je ne vais pas très bien, que j'ai des angoisses, par skype, ce n'est pas pareil.

La séparation aussi d'un couple d'amis-voisins, dont l'homme ressemble beaucoup à Monsieur Na et la femme est instit en milieu spécialisé comme moi. Un joli couple pourtant, beaucoup d'amour mais lui a trop souffert dans son enfance et ne parvient pas à s'investir entièrement.

Je n'aime pas les séparations, et celle-ci, je ne m'y attendais pas.

 

La Mort, comme d'habitude. Qui nous entoure encore, qui rôde tout près.

Nos amis qui doivent interrompre la grossesse à 8 mois. Vivre ça au plus près, pour les aider, ne m'a pas aidée moi, ni à changer d'avis sur la maternité (mais je n'avais pas envie d'en changer), ni à reposer mes nerfs mis à rude épreuve depuis un an. Trop de morts autour, je l'ai déjà dit, je ne supporte plus d'aller à des enterrements. C'est con, parce que j'en ai encore un mardi prochain.

 

Mon neveu ne va pas bien. Ma sœur qui me lance un appel au secours, je la vois tellement bouleversée... Je vois bien qu'elle est à bout, son copain aussi, qu'ils ne savent plus quoi faire avec mon neveu qui est parfois absolument insupportable, insolent, et, à 9ans, qui commence à verser dans la violence.

Heureusement, par mon métier, je bosse avec le Petit Chose, que j'aime beaucoup humainement, et qui se trouve être un psy absolument brillant. Je lui en parle, il me dit « Tu flippes ? » « Oui » « Tu flippes psychose ? » « Oui », et c'est vrai parce que depuis quelques temps, mon neveu envoie trop de signaux que je reconnais, un rapport au langage vraiment étrange, des traits paranoïaques, manipulateur, et trop intelligent pour son âge. Je flippe psychose, je flippe qu'il décompense un jour, parce que je sais ce que fait la psychose sur les gens, je vois ses résultats chaque jour au boulot. Je ne veux pas qu'il soit fou, je ne veux pas que ma sœur vive ça, l'angoisse, la peur, la violence, les crises, les hallucinations. Je ne veux pas, mais à chaque fois qu'elle me raconte des scènes, des bizarreries, des étrangetés, je ne peux pas m'empêcher d'y voir les signes habituels. Alors je le dis au Petit Chose, et heureusement, comme il m'aime bien et qu'il sait que je ne suis pas du genre à réclamer, il me dit « Je peux le voir mercredi prochain si tu veux. » Et c'est un vrai soulagement, parce que je sais que c'est le meilleur, je le vois bosser avec les jeunes, je sais qui il est, je sais qu'il est absolument brillant dans son domaine, et que, si quelqu'un peut aider mon neveu, c'est lui.

Deux entretiens déjà, mon neveu et ma sœur sont enchantés, le transfert est verrouillé, c'est déjà bien. Je ne peux pas m'empêcher d'en parler au Petit Chose hier, de lui demander ce qu'il en pense. Et comme je le savais, il ne peut pas exclure une psychose, parce que rapport au langage et tous les signes que j'avais repérés sans le lui dire, tout ça. Mais il ne peut pas en être sûr pour le moment. Et il me dit que c'est un enfant brillant, qu'il est exceptionnellement intelligent et qu'il ne s'inquiète pas trop pour lui, parce qu'il a les moyens de décoller vraiment. Je me satisfais alors de lui avoir offert une boîte d'expériences de chimie à son anniversaire, en plus de son abonnement annuel à Picsou Mag, parce que ça va le nourrir.

Je suis inquiète, je suis flippée même. Je ne peux évidemment pas parler de ça à ma sœur, ni à mes parents, moi qui ai tant de mal à mentir, parce que, si moi je peux gérer le signifiant « psychose », parce que je sais ce que ça recouvre, et que j'ai la formation pour, eux le vivront terriblement mal. Et puis je ne suis pas psy, alors si je me plante, imaginez les dégâts. Donc je n'en parle pas, et je me réjouis de savoir que c'est le Petit Chose qui s'occupe de mon neveu, parce qu'il est formidable et qu'il va pouvoir l'aider au mieux. Voyons le verre à moitié plein. Mon neveu est intelligent, brillant, il aime les maths, les trucs carrés, les lois universelles. Steve Jobs était psychotique aussi, et voyez la carrière qu'il a eue, pas le seul génie à avoir des troubles de ce genre d'ailleurs.

Si ça se trouve, mon ptit loup va créer le vaccin anti-cancer. Ou révolutionner le monde par une super invention.

Si ca se trouve, grâce à lui, on vivra mieux. Et puis peut-être que si ça se trouve, il aura juste une vie normale, et que ça sera bien. Je veux juste qu'il soit heureux.

Des angoisses à la pelle. Sans trop savoir pourquoi parfois. Peur de mourir, peur que les autres meurent, purée j'ai l'impression de tourner en rond dans ces thèmes-là. Il faudrait vraiment que j'aille voir un psy, enfin. C'est pas l'envie qui m'en manque, ça fait deux ans que j'en parle. Mais j'ai peur, j'ai la trouille, je n'ai pas envie de revivre les sensations vécues pendant mon enfance. Peut-être qu'en fait je suis plus traumatisée que je pensais par tout ça. Peut-être que le fait de vieillir, de passer le cap des 30 ans, de me marier fait remonter tout ça.

Peut-être que c'est juste la période, l'anniversaire de la mort de ma tante, les jours qui raccourcissent. Le temps gris, le froid.

Peut-être que je suis arrivée au moment où ça y est il faut oser aller voir le psy parce que ça devient nécessaire.

Peut-être que pour mon inconscient, 30 ans et un mariage, ça signifie forcément la mort de quelque chose. Et qu'il faut trouver un autre souffle.

Alors je change la déco, adieu le rouge, l'indus, bonjour le scandinave graphique ! Si j'étais riche, bon diou ça irait plus vite, mais je dois faire des budgets, vérifier les prix, échelonner les achats.

Je change d'activité aussi, bye bye la rigo, qui m'a pourtant tellement fait de bien, et bonjour le gospel !

Une amie à moi fait partie d'une chorale gospel, on est allés la voir en concert, et paf la claque ! Trop d'énergie positive, j'avais juste envie d'être en toge avec eux plutôt que dans le public. En soirée, quelques mois plus tard, chez cette amie, avec quelques personnes de la chorale, les voilà qui nous font un bœuf improvisé, et paf, de nouveau, même sensation, alors qu'ils ne sont que 5 !

La soirée se passe dans une super ambiance, et tard dans la nuit, ils lancent une idée de karaoké, et hop sur youtube. Bien entendu, j'adore chanter, je chante aussi, et sur Love Me Tender, sans que je m'en rende compte, ils se taisent et m'écoutent. Je chante juste, j'ai une voix jazzy-soul qui va bien avec Elvis Presley, et j'adoooore cette chanson (qui a d'ailleurs été celle de notre mariage), alors je suppose que ça leur plaît. Et en effet, quand la musique s'arrête, je me rends compte qu'en fait ils me regardent tous et m'applaudissent !!! Euh, bah, euh, merci. Du coup, ils se mettent à 5 à me convaincre que je dois ABSOLUMENT venir chanter avec eux à la chorale, qu'on va bien se marrer, et blablabla.

Oui, mais voilà, pour faire partie de cette chorale, qui fait de nombreux concerts un peu partout sur le département, il faut passer une audition. Ah ah. Une audition, tu veux dire, prendre le risque de me planter devant 5 personnes que je ne connais pas ? AH AH AH, trop drôle, non c'est mort je ne peux pas.

Et puis j'en parle à Monsieur Na qui a alors ce regard incroyable plein d 'étoiles et qui me dit « Mais ma chérie je serais trop fier de venir te voir en concert, faut absolument que tu fasses ça, ça te correspond trop blablabla ». C'est bien la première fois que je le vois s'emballer comme ça pour un truc que je dois faire. Genre quand je lui avais annoncé que j'allais donner des conférences, moi, la petite enseignante de base de rien du tout, il avait à peine réagit, alors que pour moi c'était juste énorme. Et là, je le vois tellement content, emballé, que je me dis que c'est trop con de ne pas tenter, au risque de se louper.

Un soir de courage, j'envoie donc un mail à la chorale. Puis la vice-présidente me rappelle, nous papotons un moment, elle m'envoie la liste des chants, il y en a 7, il faut en préparer 2, et il y aura en plus un exercice de rythme.

Je passe donc mon été à préparer, m'entraîner, chanter, dans la salle de bains, dans la voiture, devant l'ordi. Je prépare deux chants, j'en change un plusieurs fois, jusqu'à la veille.

Je me dis que j'ai le temps, mais qu'il faudra que je m'entraîne devant des gens autres que Monsieur Na, parce que mine de rien, ce n'est pas pareil de chanter tout seul ou devant du monde.

Je fais une mini représentation, très aidée par le rhum et l'état de fatigue avancée dans lequel je suis, pendant la fête de notre mariage, devant Fifi et mon cher G, qui en sont très émus et me disent que ça va le faire. Mais ensuite, impossible de me pousser à chanter devant des gens, je suis trop nerveuse.

Le jour de l'audition, j'arrive très en avance. J'ai bossé toute la journée, je n'ai pas vraiment eu le temps d'y penser, ni de stresser. Je suis plutôt excitée d'ailleurs, j'ai le trac, mais pas d'angoisse, plutôt un stress positif. Pourtant, je suis malade depuis une semaine, je tousse comme un fumeur et j'ai le nez pris. Comme si mon corps avait voulu me donner un bon prétexte au cas où je raterais trop, « Oui mais j'étais malade. »

L'audition se passe plutôt bien, ma voix tremble mais je suis à l'aise. Je réussis à placer mon vibrato légendaire et mes petites intonations soul sur Oh Freedom.

L'exercice de rythme que je redoutais est plutôt facile finalement, ça tient plus de la vocalise que des percussions.

A ma sortie, mon amie qui fait partie de la chorale est là, elle m'a fait la surprise de venir pour me tenir compagnie pendant que je patiente.

4 autres nanas passent après moi, je les entends chanter, 2 d'entre elles ont déjà fait des années de gospel, je me dis que c'est mort, je ne suis pas au niveau.

Et puis finalement, après 2h30 d'attente, pour le coup un peu plus stressée, on m'annonce que je suis prise ! Youpi ! La présidente me dit même que j'ai un joli timbre !

J'enchaîne donc avec ma première répétition, en mode JOIE absolue. La première chanson, je suis même presque en extase, d'être là.

Deux heures de répétition chaque lundi, plus les entraînements par pupitre, plus les concerts (dejà 7 concerts programmés avant décembre), ça me prend beaucoup de temps mine de rien. J'ai donc décidé de ne pas m'inscrire à la rigologie cette année, j'irai ponctuellement faire des petites séances. De toutes façons, même si j'adorais ça, en fin d'année c'était devenu difficile de me lever pour y aller. Trop crevée, trop besoin de dormir, et surtout quand j'avais rigologie le samedi matin, je devais rattraper une matinée entière de préparation de classe. Et mettre mon réveil le dimanche matin pour bosser... c'était trop désagréable, ça me rendait aigrie, moins efficace, car pas envie.

Les répétitions ont lieu le lundi soir, et pour les concerts, c'est très variable, mais souvent le vendredi soir.

Ma première date, c'est le 20 novembre, arg ça va venir vite ! J'ai hâte, si vous saviez !

Beaucoup de boulot quand même, parce que 18 chants à apprendre en 1 mois, en ne faisant chaque chant que deux ou trois fois en groupe... faut s'accrocher. Mais je suis super motivée, et les chants me plaisent vraiment. Notamment les chants à capella, comme Oh Freedom et We Shall Overcome.

 Mais ça me tient, ça me vide et me remplit en même temps.

Ca m'aide. Ca m'a aidée aussi d'avoir mon beau-frère, enfin si vous suivez, le fils de la famille d'accueil de Monsieur Na, qu'il considère comme sa vraie famille. Il est venu avec sa femme et leurs deux enfants aujourd'hui, et découvrir ce qu'ils pensent des parents (donc, la "mère" de famille d'accueil de Monsieur Na, et la vraie mère d'Alexis) m'a réconfortée.

On a passé un chouette moment. Et leur fille de 4 ans a fait la sieste sur moi, ce qu'elle ne fait jamais selon eux, même sur ses parents. Hé hé, elle m'aime bien la petite! Ca me tenait chaud, elle n'était pas lourde, je caressais ses cheveux tout doux, bref, c'était très douillet comme sensation, pendant qu'on papotait.

Mon programme à venir va être chargé, des répétitions avant le concert du 20 (youpiiii), un enterrement mardi après-midi, un gros resto mardi soir sur le thème des champignons dans mon resto préféré (là où on a fait notre vin d'honneur),jeudi réunion toute la journée qui promet d'être captivante sur le thème de la vie affective et sexuelle des jeunes en situation de handicap, et vendredi youpi c'est férié! On en profite pour aller à la piscine avec les voisins et fêter les 30 ans de Fifi le soir. Et ce week-end, foire aux vins avec les potes. Grosse semaine donc! Ca va faire du bien, je crois, de voir du monde, de bouger, d'être dans la vie.

Et pour ce soir, on laisse le régime de côté et on se rue sur le reste de tartiflette de ce midi.

A table.

 

 

 

 

 

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Commentaires
G
T'as bien raison, le gospel c génial :) Je pense bien à toi, courage. Des bises
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Mademoiselle Na.
  • Mes histoires de chaussettes dépareillées, mes petites culottes en dentelle, mes longues conversations avec mon écureuil intérieur. Je cause, je papote, je bavarde, je m'épanche, je raconte. Na.
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